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C'était l'eldorado pour les Grenoblois
!
Dans une lettre distribuée
aux Grenoblois après son élection à la présidence
de l'UMP Isère en avril 2003, Alain CARIGNON écrit :
« De la part d'Alain CARIGNON
Ancien ministre
Président de l'UMP Isère
Madame, Mademoiselle, Monsieur,
Si je m'adresse à vous aujourd'hui, fort de la confiance de l'UMP,
c'est parce que je n'ai cessé de penser à notre ville et aux Grenoblois.
Ces huit dernières années, tous les sentiments possibles m'ont
traversé l'esprit.
J'ai observé ce qui s'accomplissait, supporté silencieusement toutes
les critiques, souffert pour Grenoble. Huit années au cours desquelles,
j'ai eu le temps de réfléchir à ce qui était arrivé.
Je n'ai de ressentiment à l'égard de personne, si ce n'est envers
moi-même pour mon manque de vigilance.
Avec une équipe, j'ai animé la ville durant 12 ans. Grenoble était
alors citée en exemple. Grenoble gagnait ! (...) Grenoble pouvait rêver,
faire la fête. Notre ville était aimée, enviée dans
toute l'Europe.
Depuis, Grenoble est rentrée dans le rang des villes
ordinaires. (...) Aujourd'hui, les Grenoblois attendent un véritable projet
pour leur ville. (...) Je vous prie de croire, Madame, Mademoiselle, Monsieur,
en mon entier dévouement
au service de notre ville. »
En réalité entre
1983 et 1995, la ville
de Grenoble a été endettée du fait de la gestion calamiteuse
de l'équipe CARIGNON :


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